Projet montré à la Maison des arts de Laval (foyer), du 4 décembre 2011 au 12 février 2012.
Déplacement porte sur la notion de récit ainsi que sur la perte des repères collectifs de l'Occident. J'aborde ce « déplacement » de temporalité propre à la mondialisation dans lequel le présent est devenu autarcique et désaffilié d'une quelconque continuité narrative au sens collectif. À partir d'un voyage familial réalisé dans le berceau de notre civilisation, deux personnages sont mis en scène dans mes oeuvres : mon grand-père et ma nièce, comme pour questionner le rapport que l'on entretient avec les notions de transmission et d'héritage. Ce qui est donné à voir est d'une part, de la peinture composée de différentes couches et textures — qui sont autant de strates de la mémoire et de l'histoire personnelle et collective — et d'autre part, des dessins épurés.
Déplacement porte sur la notion de récit ainsi que sur la perte des repères collectifs de l'Occident. J'aborde ce « déplacement » de temporalité propre à la mondialisation dans lequel le présent est devenu autarcique et désaffilié d'une quelconque continuité narrative au sens collectif. À partir d'un voyage familial réalisé dans le berceau de notre civilisation, deux personnages sont mis en scène dans mes oeuvres : mon grand-père et ma nièce, comme pour questionner le rapport que l'on entretient avec les notions de transmission et d'héritage. Ce qui est donné à voir est d'une part, de la peinture composée de différentes couches et textures — qui sont autant de strates de la mémoire et de l'histoire personnelle et collective — et d'autre part, des dessins épurés.